Utilisateur:Mhardyvallee/John Max

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
John Max
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Naissance
Décès
(à 74 ans)
Montréal,
Nom de naissance
John Porchawka
Nationalité
Canadien
Activité
Photographie, film
Formation
Distinction
  • Diplôme d’honneur et Médaille de bronze de la ville de Bordeaux (1972)
  • Médaille d'or de l'ONF pour l'excellence en photographie (1972)
  • Membre de l'Académie royale des arts du Canada
Œuvres principales
  • Le soleil brilla toute la nuit (1970)
  • ...to be INDIAN (1971)
  • Open Passport (1972)
  • John Max RCA (né John Porchawka ; 23 septembre 1936 - 5 mai 2011) était un photojournaliste, professeur de photographie et photographe d'art canadien. Il est reconnu pour son utilisation de la séquence narrative, son portrait expressif et son approche intensément personnelle et subjective de la photographie.

    Il a grandi à Montréal, où il était actif sur la scène des arts visuels dès le tournant des années 1950 et 1960, et a publié de nombreux essais photographiques pour des journaux et des magazines. Il a également maintenu des liens étroits avec la scène photographique américaine.

    Max a été soutenu au cours des années 1960 et 1970 par l'Office national du film du Canada, par le biais de son Service de la photographie, et par le Musée des beaux-arts du Canada, par le biais d'une variété de projets d'exposition et de publication. Abandonnant progressivement le photojournalisme dans les années 1960, il concentre ses travaux sur les expositions et publications d'art photographique. Son œuvre la plus connue, Open Passport (exposée de 1972 à 1976; publiée en 1973) est une longue séquence qui combine en un récit poétique unifié des photographies de diverses sources prises en l'espace d'une décennie.

    Après un long voyage au Japon (1974-1978) qui a entraîné sa déportation et la perte de nombreux rouleaux de films, il est devenu moins visible qu'auparavant sur la scène artistique au Canada. À la fin des années 1990 et au début des années 2000, il a bénéficié d'un regain d'intérêt pour son travail, avant sa mort en 2011.

    Le travail de John Max a été reconnu par bon nombre de critiques, conservateurs, artistes et photographes au Canada et à l'étranger. Il a également été à l'origine de nombreuses réponses et hommages. Robert Frank a dit de lui « Quand je pense à la photographie canadienne, son nom vient en premier[1] ».

    Naissance et éducation[modifier | modifier le code]

    John Max est né John Porchawka dans la famille d'Anna (née Barchynska) et de Paul Porchawka, tous deux immigrants d'origine ukrainienne, le 23 septembre 1936 à Montréal[2]. Sa famille a vécu dans le quartier multiculturel autour de la Main, jusqu'à ce qu'ils déménagent dans le quartier de Rosemont, où Max a passé la plus grande partie de sa vie[3].

    Au secondaire, il a fréquenté l'École des arts et du design du Musée des beaux-arts de Montréal. Dirigée par le peintre Arthur Lismer du Groupe des Sept, l'École offrait des cours pour adultes et pour enfants dispensés par des artistes de carrière sur une variété de supports, tels que le textile, la peinture, la typographie, les arts graphiques, le dessin ou le design[4]. Porchawka s'est distingué et a remporté des bourses[5]. Il avait également commencé à prendre des photos avec un Kodak Pony 135[6].

    Carrière[modifier | modifier le code]

    Après avoir obtenu son diplôme d'études secondaires, Porchawka a étudié au Conservatoire de McGill, mais a rapidement abandonné ses études et s'est plutôt concentré sur la photographie[6]. Le travail de photojournalisme et de photographie de rue de Henri Cartier-Bresson et Lutz Dille furent ses premiers modèles. Par sa fréquentation de la bohème montréalaise dans des cafés comme L'Échourie[7], il fait la connaissance de plusieurs artistes dans les domaines de la peinture, de la sculpture, de l'écriture, du théâtre, du cinéma et de la photographie[8]. Pendant de nombreuses années, il a photographié intensivement des artistes montréalais dans l'espoir de produire un « portrait de la Bohême ». Cette démarche a alimenté ses premières expositions et publications qu'il fit sous le nom de « John Max ». La production de Max pour les magazines ralentit au cours de la seconde moitié des années 1960, et sa pratique se tourne alors principalement vers la photographie d'art pour le reste de sa carrière.

    1957–1965: Bohème montréalaise[modifier | modifier le code]

    En 1957, John Max a contribué une courte séquence photographique et un portrait à l'exposition de groupe Photographie 57 à l'Université de Montréal[9]. C'était une réponse anticipée à la visite de l'exposition du MoMA, The Family of Man plus tard cette année-là au Musée des beaux-arts de Montréal[10]. Défendant la photographie en tant qu'expression artistique, l'exposition comptait parmi ses participants Claude Jutra, Michel Brault, John Max, Vittorio Fiorucci, Jauran (Rodolphe de Repentigny), Jean-Paul Mousseau, Gordon Webber et bien d'autres. À peu près à la même époque, Max a contacté la maison George Eastman avec l'aide de Sam Tata et de Fiorucci. Il y a rencontré Nathan Lyons, qui l'a soutenu tout au long de sa carrière et l'a inclus dans l'exposition Photography 63[11][12] [13].

    La première exposition solo de John Max a ouvert ses portes en 1960 à l'Université McGill, mais elle a été rapidement censurée: John Max Shouts : Enough, No More, I Want rouvrit quelques jours plus tard dans un club privé à proximité[14]. L'exposition présentait, entre autres séquences, une performance de la danseuse moderniste Suzanne Rivest interprétée comme un chemin de croix, une suggestion de l'ami de Max Jean-Claude Germain[8].

    Max devint alors devenu un collaborateur régulier aux magazines et suppléments illustrés tels que Maclean’s, Perspectives, Vie des arts et Weekend Magazine, auxquels il fournit des essais photographiques sur la scène artistique montréalaise. Son portrait du poète Leonard Cohen a également orné la couverture de la première édition de son recueil The Spice-Box of Earth (1961). Il a notamment contribué à un reportage de Maclean’s sur la scène artistique montréalaise, « The Last Bohemia[15] » et un autre sur la communauté crie du lac Mistassini[16]. Ce reportage a contribué à asseoir sa réputation[17] et à attirer l'attention de Lorraine Monk, productrice exécutive du Service de la photographie de l'Office national du film du Canada.

    1966–1970: Reconnaissance institutionnelle et contre-culture[modifier | modifier le code]

    Le SPD a acquis certaines des photographies de Max de Mistassini (aujourd'hui Mistissini, Québec) en 1965[18] et il a fait un certain nombre de contrats pour le Service au cours des années suivantes. Il participa à une série de publications de l'ONF, à commencer par les livres du Centenaire canadien Call them Canadians[19] et Ces visages qui sont un pays[20], ainsi que les catalogues d'exposition de la série IMAGE (1967-1970 )[21] [22] [23] [24]. Le Musée des beaux-arts du Canada le soutient également et il est choisi en 1967 pour représenter le Canada à la 5e Biennale de Paris, aux côtés du sculpteur Henry Saxe, du graveur Pierre Hébert et du cinéaste Al Sens. Max a présenté une séquence de six photographies sur le thème imposé du fantastique, pour laquelle il a reçu un prix de 1000 F[25].

    Il a participé à de nombreuses expositions de groupe au Canada, a voyagé en Angleterre et en France et a enseigné la photographie au Collège Loyola à Montréal avec l'aide de l'artiste multidisciplinaire Charles Gagnon[26] [27]. Gagnon avait inclus de nombreuses photographies de Max dans le pavillon chrétien d'Expo 67, à la fois pour l'exposition photographique et dans le film Le huitième jour. Le film de Gagnon était un commentaire sur l'aliénation croissante de la vie sous la menace de la guerre nucléaire, et son utilisation d'images fixes rappelait les films d'Arthur Lipsett, un autre ami de Max, qui lui-même a joué dans les films de Lipsett 21-87[28] et N-Zone[29].

    La participation de Max au mouvement de la contre-culture de la fin des années 1960, telle sa participation au troisième numéro du magazine de libération sexuelle Sexus[30] [31] l'a également conduit à expérimenter avec le diaporama. Ses images ont été utilisées dans de nombreux événements du Lord Maudsley Circus of the Performing Arts[32] un collectif de spectacles de lumière créé par les éditeurs du magazine souterrain Montréal LOGOS[33]. Les diaporamas de Max pour le Lord Maudsley ont été joués à l’ouverture d’une rétrospective Alfred Pellan au Musée d’art contemporain de Montréal le 29 avril 1969[34] et lors du concert de Janis Joplin du 4 novembre 1969 au Forum de Montréal.

    1970–1973: Oeuvres principales[modifier | modifier le code]

    Au début des années 1970, John Max a produit trois œuvres majeures. Le 8 janvier 1970, il ouvre sa deuxième exposition solo à Paris à la Société française de photographie, Le soleil brilla toute la nuit[35]. 57 photographies dans un style très chargé et graphique furent exposées, parmi les plus expressives de Max[26].

    En 1971, le documentaire ... to be INDIAN a été diffusé à la télévision par la Canadian Broadcasting Corporation (CBC)[36]. Réalisé par Jesse Nishihata, le film était entièrement composé de photographies prises par Max, animées à la manière des films de l'ONF tels que Capitale de l'or, de Wolf Koenig et Colin Low (un style qui fut plus tard connu sous le nom de « effet Ken Burns »). Les images ont été synchronisées avec des entrevues; ensemble, elles dressent le portrait de trois communautés autochtones de l'Alberta (Blue Quills College, Frog Lake et Smallboy Camp) au cours d'un moment tendu dans leurs relations avec le gouvernement canadien au sujet de leur statut d'Indien, de leur autonomie gouvernementale, et de revendications territoriales[37].

    Enfin, en 1972, l'exposition Open Passport = Un passeport infini a ouvert ses portes à la Galerie de l'image de l'ONF à Ottawa[38]. Une séquence de 161 photographies en noir et blanc extraites des archives de Max, dont certaines datent de 1960, Open Passport est largement considéré comme son œuvre la plus importante.[11] Les photographies sont principalement des portraits de la famille de Max (sa femme et son fils) et de ses amis, dont beaucoup étaient des artistes et des personnalités établies. Parmi ceux qui sont représentés, Leonard Cohen, Janis Joplin, Sam Tata, François Dallegret, Vittorio Fiorucci, Guy Borremans, Sylvain P. [Henri] Cousineau, Lorraine Monk, Jean-Claude Germain, Moondog, Arthur Lipsett, Frank Zappa et Gail Zappa, Henry Zemel, Gordon Sheppard, Nina Raginsky, Judith Eglington, Charles Gagnon, Dennis Stock, Martin Lavut, Grace Slick et Michio Kushi. [39]

    Max a unifié la sélection pour Open Passport en organisant les images selon une progression narrative. Il regroupe les images dans des grilles, utilise des répétitions et une variété de stratégies de séquençage qui peuvent rappeler des expositions photographiques à grande échelle telles que The Family of Man. L'histoire sous-jacente est celle d'un couple confronté à l'arrivée d'un enfant: alors que la mère éprouve le poids croissant de l'enfant sur sa santé mentale et son énergie, le père est confronté à un dilemme entre sa carrière artistique et sa famille. Le conflit est finalement résolu par son départ, mais cette résolution n'est pas considérée comme une fin heureuse par les personnes impliquées[40] [41].

    Open Passport était accompagnée d'un diaporama des photographies lors de son ouverture à Ottawa et à Montréal[42] et l'exposition a voyagé à plusieurs endroits au Canada jusqu'en 1976[38]. Elle a été publiée sous forme de livre photo par le magazine torontois IMPRESSIONS dans son numéro spécial 6 et 7 à la fin de 1973[39]. A.D. Coleman l'a recensé favorablement dans le New York Times[43].

    1974–1995: Voyage au Japon et retour au pays[modifier | modifier le code]

    À la suite du succès critique d'Open Passport, John Max a reçu une bourse du Conseil des arts du Canada pour photographier au Japon[44]. Il avait longtemps professé son intérêt pour la culture et la spiritualité du pays, et il y est resté quatre ans, de 1974 à 1978. Malheureusement, il n'est pas parti avant l'expiration de son visa, et il a été arrêté par les autorités japonaises, ses milliers de rouleaux de film mis en entrepôt[45]. Beaucoup d'entre eux ont été rendus inutilisables en raison des conditions de stockage, mais il a finalement ramené le reste au Canada[26].

    Au cours des années 1980, il a fait trois expositions individuelles dans de petites galeries qui ont reçu une couverture médiatique limitée: John Max: Images of Japan, 1974–79 Photographs (1982)[46], On the Wings of a Mosquito: The Nothing and The Everything (1984) et Strike up the Band! (1986)[47]. En 1991, il devait présenter une exposition rétrospective couvrant toute la carrière au cours du Mois de la photo à Montréal, mais il a échoué et n'a livré que deux photographies[48]. Ses photos ont été occasionnellement incluses dans des expositions de groupe, et il a montré certains de ses dessins en 1995[49].

    1997–2011: Redécouverte et dernières années[modifier | modifier le code]

    À la fin des années 1990, grâce aux efforts de la Stephen Bulger Gallery à Toronto et de VOX à Montréal, John Max a exposé des photographies d'Open Passport, du Japon et d'On the Wings of a Mosquito[50] recevant cette fois-ci un meilleur accueil critique[51]. Le Musée de la photographie à Charleroi, en Belgique, a exposé ses photographies qui furent publiées dans un catalogue, Quelque chose suit son cours = Something is taking its place (1998)[52]. Max faisait également partie de l'édition 1999 du Noorderlicht Fotofestival à Groningen aux Pays-Bas, et quatre photographies d' Open Passport ont été imprimées dans le catalogue Wonderland[53].

    Au début des années 2000, ses photos sont apparues dans des expositions collectives thématiques rétrospectives du Musée canadien de la photographie contemporaine, du Musée d'art contemporain de Montréal et du Musée des beaux-arts de Montréal[47]. Deux projets ont simultanément tenté d’esquisser une biographie de Max, l’essai de David Homel Le monde est un document (2002)[54] et le film documentaire de Michel Lamothe, John Max: A Portrait (2010)[26]. Le film de Lamothe a été tourné au moment où Max fut expulsé de sa maison en 2003 et le montre dans une situation désespérée.

    La vente d'un jeu complet de tirages d'épreuves de l'exposition Open Passport au Musée canadien de la photographie contemporaine offrit à Max une certaine sécurité financière[11] tandis que le soutien de ses amis (Lamothe, Gabor Szilasi, Claude Chamberland entre autres) permit l'évacuation de sa maison surchargée et la sauvegarde de son archive photographique[3].

    Il a vécu dans un ashram bouddhiste pendant les dernières années de sa vie et est décédé le 5 mai 2011[55].

    Vie personelle[modifier | modifier le code]

    John Max était marié à l'illustratrice médicale Janet Peace (1933–2011). Ils ont eu un fils, David, à qui est dédié Open Passport[39]. Ils ont divorcé quelques années après leur mariage; Peace a ensuite vécu au Mexique et au Canada avec son fils et son deuxième mari[56].

    Réception[modifier | modifier le code]

    De nombreux photographes et artistes comme Benoit Aquin[57] et Marc Séguin[58] ont souligné l'importance de John Max et de ses oeuvres.

    Open Passport a également été référencé par différentes oeuvres:

    • Mona Nima (1977) de Sylvain P. Cousineau[59]
    • Le livre d'artiste Hommage (2005) de Serge Clément contient à la fois une copie de Open Passport et une séquence dans le même style par Clément[60]
    • Le compositeur Christopher Mayo a publié To Discard all Images (2019), une pièce pour voix et instruments combinant des enregistrements des réactions de différents photographes à Open Passport avec la partition originale de Mayo[61].

    Expositions[modifier | modifier le code]

    Étant donné que bon nombre des expositions suivantes ont également voyagé dans une multiplicité de sites au cours de nombreuses années, seuls le lieu et l'année d'ouverture sont indiqués.

    Solo[modifier | modifier le code]

    • 1960 John Max Shouts: Enough, No More, I Want Université McGill, Montréal
    • 1970 Le soleil brilla toute la nuit, Société Française de Photographie, Paris
    • 1972 Open Passport = Un passeport infini, La Galerie de l'image de l'ONF, Ottawa
    • 1982 John Max: Images of Japan, 1974–79 Photographs, A.R. Encadrements, Montréal
    • 1984 On the Wings of a Mosquito: The Nothing and The Everything, Dazibao, Montréal
    • 1986 Strike up the Band!, The Art Workshop, Montréal
    • 1997 Swallowing a Diamond, Stephen Bulger Gallery, Toronto
    • 1997 Open Passport, VOX, Montréal

    Expositions collectives choisies[modifier | modifier le code]

    • 1957 Photographie 57, Université de Montréal
    • 1963 Photography 63 / An International Exhibition, George Eastman House
    • 1967 5 e Biennale de Paris, Musée d'art moderne de Paris
    • 1967 Exposition universelle et internationale Montréal 1967 (Expo '67)
    • 1967 Bytown International Photographic Exhibition, Camera Club of Ottawa[62]
    • 1967 Photography in Canada 1967 = Photographie au Canada 1967, ONF
    • 1968 Other Places = Sous d’autres cieux, ONF
    • 1969 Seeds of the spacefields = Cela commença par un rêve et ce fut la création, ONF
    • 1969 Image 6: Photography in Canada 1969 = Photographie au Canada 1969, ONF
    • 1969 Quatre photographes montréalais: Marc-André Gagné, Ronald Labelle, John Max, Michel Saint-Jean = Four Montreal Photographers, Musée des beaux-arts du Canada[63]
    • 1999 Wonderland, Noorderlicht Photofestival

    Publications[modifier | modifier le code]

    Monographies[modifier | modifier le code]

    • 1973 Max, John. Open Pasport. Toronto: IMPRESSIONS. (OCLC 1118991051).
    • 1998 Max, John; Vercheval, Georges. Quelque chose suit son cours = Something is Taking its Place. Charleroi, Belgium: Musée de la photographie à Charleroi. (ISBN 9782871830306). (OCLC 757584367).

    Ouvrages collectifs choisis[modifier | modifier le code]

    • 1957 Millet, Robert. quelques uns des travaux exposés d’abord à l’Université de Montréal en février ’57 par un groupe qui croit que la photographie est autre chose qu’un médium impersonnel de reproduction… Montréal: Société Artistique de l’Université de Montréal. (OCLC 938043393).
    • 1963 Photography 63 / An International Exhibition. Rochester, NY: George Eastman House. (OCLC 613432467).
    • 1968 Monk, Lorraine (éd.). Call them Canadians: A Photographic Point of View. Ottawa: Queen’s Printer. (OCLC 622822727).
    • 1968 Monk, Lorraine (éd.). Ces visages qui sont un pays. Ottawa: Imprimeur de la Reine. (OCLC 604354983).
    • 1968 Monk, Lorraine (éd.). Photography = Photographie Canada 1967. IMAGE vol. 2. Ottawa: National Film Board of Canada. (OCLC 191407).
    • 1968 Monk, Lorraine (éd.). Other Places = Sous d’autres cieux. IMAGE vol. 3. Ottawa: National Film Board of Canada. (OCLC 30071341).
    • 1969 Monk, Lorraine (éd.). Seeds of the spacefields (a sequence of ten dreams) = cela commença par un rêve et ce fut la Création (une série de dix rêves). IMAGE vol. 5. Toronto: Martlet Press. (OCLC 62931108).
    • 1970 Monk, Lorraine (éd.). Image 6: A Review of Contemporary Photography in Canada = Une revue de la photographie contemporaine au Canada. IMAGE vol. 6. Toronto: Martlet Press. (OCLC 1131342409).
    • 1999 Melis, Wim; Botman, Machiel (éds.). Noorderlicht: Wonderland. Groningen, Netherlands: Stichting Aurora Borealis. (ISBN 9789076703039). (OCLC 905439783).
    • 2002 Pichette, Jean (éd.). Les tours de Babel : La paix après le 11 septembre. Sortir la tête. Montréal: Les 400 coups. (ISBN 9782895400813). (OCLC 61445224).
    • 2002 Homel, David; Max, John. Le monde est un document. Québec City: Éditions J’ai VU. (ISBN 9782922763041). (OCLC 747175727).
    • 2005 Clément, Serge. Hommage : John Max—Open Passport. Montréal: S. Clément. (OCLC 62430203).

    Essais photographiques choisis[modifier | modifier le code]

    • 1960 Trent, Bill (15 octobre 1960). « Alfred Pellan: Lover of Life and Art[64] ». Weekend Magazine.
    • 1961 Max, John (22 avril 1961). « The Last Bohemia[65] ». Maclean's.
    • 1961 Bouthillette, Jean (24 juin 1961). « La Roulotte promène ses personnages de parc en parc[66] ». Perspectives.
    • 1961 Saucier, Pierre (1961). « Jeunes peintres au travail[67] ». Vie des arts. 22: 37–45.
    • 1963 Max, John (6 juillet 1961). «  Some Indians with no White Problem — Yet[68] ». Maclean's.
    • 1966 Ruddy, Jon (1 octobre 1966). « Is the World (Or Anybody) Ready for Leonard Cohen?[69] ». Maclean's.

    Filmographie[modifier | modifier le code]

    Entrevues[modifier | modifier le code]

    • 1999 Chiasson, Herménégilde, dir. Photographie: Onze artistes du Canada = Photographies : onze artistes du Canada. Office national du film du Canada. Vidéo, 48 min. (OCLC 757485490)
    • 2006 Lavut, Martin, dir. Remembering Arthur[70]. Office national du film du Canada. Vidéo, 89 min.(OCLC 904764088)
    • 2010 Lamothe, Michel, dir. John Max: un portrait[71]. Les Films du 3 Mars. Vidéo numérique, 94 min. (OCLC 796388003)

    En tant qu'acteur[modifier | modifier le code]

    • 1964 Lipsett, Arthur, dir. 21-87[28]. Office national du film du Canada. 16 mm, 9 min.
    • 1970 Lipsett, Arthur, dir. N-Zone[29]. Office national du film du Canada. 16 mm, 45 min.

    En tant que photographe[modifier | modifier le code]

    • 1967 Gagnon, Charles. Le huitième jour = The Eighth Day. 16 mm, 13 min. (ISBN 9780981203416) (OCLC 429726241)
    • 1971 Nishihata, Jesse [Hideo]. ...to be INDIAN. Canadian Broadcasting Corporation. 16 mm, 54 min.

    Musique[modifier | modifier le code]

    Collections[modifier | modifier le code]

    Liens externes[modifier | modifier le code]

    Références[modifier | modifier le code]

    1. (en) Manford, « Of Passports and Visas », Canadian Art, vol. 14, no 3,‎ , p. 56 (ISSN 0825-3854, lire en ligne)
    2. a et b « John Max », Musée des beaux-arts du Canada
    3. a et b (en) Irwin Block, « Photographer finds a home », The Gazette,‎ (lire en ligne)Inscription nécessaire
    4. (en) Angela Grigor, Arthur Lismer, Visionary Art Educator, Montréal and Kingston, McGill-Queen's University Press, (ISBN 9780773522954, lire en ligne), p. 176
    5. (en) « Prizes, Scholarships Given At School of Art and Design », The Gazette,‎ , p. 13 (lire en ligne)Inscription nécessaire
    6. a et b (en) Sam Tata, « On assignment: John Max by Sam Tata », Foto-Canada, vol. I, no 3,‎ , p. 29–35 (OCLC 173996291)
    7. (en) Artist in Montreal [16 mm], Palardy, Jean (Director) () National Film Board of Canada. La scène se produit à 11:29. (OCLC 1078057077)
    8. a et b Jean-Claude Germain, La femme nue habillait la nuit : Nouvelles historiettes de la bohème, Montréal, Hurtubise, (ISBN 9782896473144, lire en ligne)
    9. Robert Millet, quelques uns des travaux exposés d’abord à l’Université de Montréal en février ’57 par un groupe qui croit que la photographie est autre chose qu’un médium impersonnel de reproduction…, Montréal, Société Artistique de l’Université de Montréal, (OCLC 938043393)
    10. Hone, « Exposition de photographies », Quartier Latin,‎ , p. 5 (ISSN 0832-4131)
    11. a b et c Toucher les Canadiens et les Canadiennes: Rapport annuel 2002–03, Ottawa, Musée des beaux-arts du Canada (lire en ligne), p. 30
    12. (en) Barbara Confino, « Intimate Images », The Montreal Star,‎ , p. C5
    13. (en) Photography 63 / An International Exhibition, Rochester, NY, George Eastman House, (OCLC 613432467)
    14. Jean Sarrazin, « Des jeunes de mille ans et des jeunes d’aujourd’hui… », La Presse,‎ , p. 36 (lire en ligne)
    15. (en) Max, « The Last Bohemia », Maclean's,‎ , p. 24–27 (lire en ligne)
    16. (en) Max, « Some Indians with no White Problem — Yet », Maclean's,‎ , p. 22–24 (lire en ligne)
    17. (en) « 1964 Editorial Art, Picture Story », Advertising & Design Club of Canada
    18. « Mistassini, John Max », Musée des beaux-arts du Canada
    19. (en) Call them Canadians: A Photographic Point of View, Ottawa, Queen’s Printer, (OCLC 622822727)
    20. Ces visages qui sont un pays, Ottawa, Imprimeur de la Reine, (OCLC 604354983)
    21. Photography = Photographie Canada 1967, Ottawa, National Film Board of Canada, coll. « IMAGE » (no 2), (OCLC 191407)
    22. Other Places = Sous d’autres cieux, Ottawa, National Film Board of Canada, coll. « IMAGE » (no 3), (OCLC 30071341)
    23. Seeds of the spacefields (a sequence of ten dreams) = cela commença par un rêve et ce fut la Création (une série de dix rêves), Toronto, Martlet Press, coll. « IMAGE » (no 5), (OCLC 62931108)
    24. Image 6: A Review of Contemporary Photography in Canada = Une revue de la photographie contemporaine au Canada, Toronto, Martlet Press, coll. « IMAGE » (no 6), (OCLC 1131342409)
    25. Cinquième biennale de Paris, Paris, Musée d’art moderne de la ville de Paris (OCLC 983760774), p. 46
    26. a b c et d John Max: A Portrait [Digital video], Lamothe, Michel (Director) () Les Films du 3 Mars. (OCLC 796388003)
    27. « Charles Gagnon - Artiste » (consulté le )
    28. a et b (en) 21-87 [16 mm], Lipsett, Arthur (Director) () Office national du film du Canada. (OCLC 806246167)
    29. a et b (en) N-Zone [16 mm], Lipsett, Arthur (Director) () Office national du film du Canada. (OCLC 1029492677)
    30. Max, « John Max, photographe », Sexus,‎ , p. 38–63
    31. (en) « Origins of the Montreal Underground », Montreal Underground Origins Blog
    32. Germain, « Les grands spectacles », SPEC, le magazine de spectacles de La Presse, vol. 1, no 49,‎ , p. 10 (lire en ligne)
    33. « LOGOS et la contre culture de Montréal », Montréal Underground Origins Blog
    34. « Une soirée ‘Voir Pellan’ au Musée d’art contemporain », Le Devoir,‎ (lire en ligne)
    35. « John Max à Paris », Le Devoir,‎ (lire en ligne)
    36. (en) « Indian Philosophy Probed », Calgary Herald,‎ (lire en ligne)Inscription nécessaire
    37. « Livre blanc de 1969 », L'Encyclopédie canadienne
    38. a et b (en) « Open Passport = Un passeport infini », Library and Archives — Catalogue, National Gallery of Canada
    39. a b et c John Max, Open Pasport, Toronto, IMPRESSIONS, (OCLC 1118991051)
    40. (en) Penny Cousineau-Levine, Faking Death: Canadian Art Photography and the Canadian Imagination, Montréal and Kingston, McGill-Queen’s University Press, (ISBN 0773525262, lire en ligne)
    41. Michel Hardy-Vallée, Les récits visuels de soi : Mises en récit artistiques et nouvelles scénographies de l’intime, Paris, Presses universitaires de Paris ouest, , 197–206 p. (ISBN 9782840162285, lire en ligne), « Open Passport : Le récit photographique et le langage universel de John Max »
    42. (en) Michael White, « John Max: Photographs Born of a Beat Generation », The Gazette,‎ (lire en ligne)
    43. (en) A.D. Coleman, « The Photography Book as Autobiography », The New York Times,‎ , p. D25 (lire en ligne)Inscription nécessaire
    44. Conseil des arts du Canada, « Rapport annuel 1973–74 », p. 36
    45. (en) James Purdie, « Rescue Urged for Max Film », The Globe and Mail,‎ (ISSN 0319-0714)
    46. Gilles Daigneault, « Les expositions / Il était une fois dans l’est », Le Devoir,‎ , p. 26 (lire en ligne)
    47. a et b « Curriculum Vitae, John Max », La Castiglione
    48. Jean Dumont, « Autres figurations », Le Devoir,‎ , p. 12 (lire en ligne)
    49. Jennifer Couëlle, « Une affaire de tomates… », Le Devoir,‎ , B10 (lire en ligne)
    50. Serge Allaire, « John Max », Ciel Variable, vol. 40,‎ (lire en ligne)
    51. (en) Henry Lehman, « Echo is Heard from Career of a Talented Photographer », The Gazette,‎ (lire en ligne)Inscription nécessaire
    52. John Max et Georges Vercheval, Quelque chose suit son cours = Something is Taking its Place, Charleroi, Belgium, Musée de la photographie à Charleroi, (ISBN 9782871830306, OCLC 757584367)
    53. (en) Noorderlicht: Wonderland, Groningen, Netherlands, Stichting Aurora Borealis, (ISBN 9789076703039, OCLC 905439783)
    54. David Homel et David Homel, Le monde est un document, Québec City, Éditions J’ai VU, (ISBN 9782922763041, OCLC 747175727)
    55. Jean-François Nadeau, « Décès du photographe John Max », Le Devoir,‎ (lire en ligne)
    56. (en) Marlene Loth, « Janet Perez-Vela (nécrologie) », BMCAAnewsletter, University of Toronto, Biomedical Communications Alumni Association, vol. 26, no 1,‎ , p. 27–8
    57. Ewing, « Benoit Aquin: Fire & Ice = Benoit Aquin : De feu et de glace », Ciel Variable,‎ , p. 25–31 (lire en ligne)
    58. Marc Séguin : survol overview, Montréal, Les 400 coups, (ISBN 9782895402091, OCLC 71186547)
    59. Sylvain P. Cousineau, Mona Nima, Almonte, ON, Powys Press, (ISBN 9780969062806, OCLC 4048545, lire en ligne)
    60. Serge Clément, Hommage : John Max—Open Passport, Montréal, S. Clément, (OCLC 62430203, lire en ligne)
    61. Mayo, « To Discard All Images »
    62. Bytown International 1967 Exposition photographique Canada, Camera Club of Ottawa, (OCLC 80536898)
    63. « Four Montreal photographers », National Gallery of Canada
    64. (en) « Alfred Pellan: Lover of Life and Art », Weekend MagazineInscription nécessaire
    65. (en) « The Last Bohemia », Maclean's
    66. « La Roulotte promène ses personnages de parc en parc », Perspectives
    67. « Jeunes peintres au travail », Vie des arts
    68. (en) « Some Indians with no White Problem — Yet », Maclean's
    69. (en) « Is the World (Or Anybody) Ready for Leonard Cohen? », Maclean's
    70. (en) « Remembering Arthur », Office national du film du Canada
    71. « John Max: un portrait », Les Films du 3 Mars
    72. « Carleton University Art Gallery », www.cuag.ca
    73. « Recherche collections (bêta) | La Cinémathèque québécoise »
    74. « Collection », Musée d'art de Joliette
    75. Gouvernement du Canada, « Artefacts Canada », app.pch.gc.ca
    76. « John Max », Musée national des beaux-arts du Québec
    77. « John Max », Winnipeg Art Gallery
    78. « John Max », George Eastman Museum

    [[Catégorie:Photographe de rue]] [[Catégorie:Photographie au Japon]] [[Catégorie:Photographie au Canada]] [[Catégorie:Personnalité de l'Office national du film du Canada]] [[Catégorie:Photographe canadien]] [[Catégorie:Artiste québécois]] [[Catégorie:Anglo-québécois]] [[Catégorie:Décès en 2011]] [[Catégorie:Naissance en 1936]]